Blade Runner

Critique après avoir lu cet ouvrage je peux le dire avec simplicité j’ai été surpris et prie dans une boucle qui me poussait à m’interroger sur la vérité sur le bien et le mal.

ma critique contiendra surement des spoilers que je signalais mais pour plus de confort de lecture je vous conseil de lire ma critique si vous avait déjà lu le livre Nous sommes donc dans un monde ravager par la dernière grande guerre qui et contaminer par de la radioactivité rien de bien surprenant au premier abord juste un aperçut de se qui nous attend

La présentation des humains et diviser en 2 catégories. Ceux qui ont développé un système immunitaire qui les protège des radiations et ceux qui ne l’on pas développer dit « spéciaux » qui sont dénigres priver de certain droit et rejeter par la société.

Du a la contamination de la planète une grande partie de la population on émigrais sur la planète mars avec l’opportunité de posséder un serviteur mécanique sa fait drôlement penser un a monde fait pour les riches et les puissants.

Les animaux ont pratiquement tous disparue et les rare survivant sont élever on rang de possession indispensable et plus l’animal et rare plus il augmente le rang social du propriétaire. Le fait de ne pas posséder d’animaux dans l’histoire revient à dire par rapport à notre époque de ne pas possède le dernier smartphone a la mode. ceux qui vas nous interroger. Le héros de l’histoire possède un mouton mécanique aussi ressemblent qu’un vrai mouton mais il fait croire à tout le monde que c’est un vrais, il passe autant de temps a sens occuper que si c’était un vrais ce qui nous pousse déjà à nous interroge sur la frontière entre vivant et robot y a-t-il une différence ? Revenons au héro au tout début de l’œuvre je doit dire ne pas avoir compris si le héros et sa femme était humain ou androïde et cela et dus a la présentation d’un objet une orgue d’humeur c’est un objet qui vas nous faire ressentir des émotion (colère, bonheur ou dépression)et des envie d’activité (regarder la télé, faire du tricots) du coup dans les premier chapitre j’étais perplexe cars si des humain ont besoin de ce genre d’appareille pour se programmer des émotion en quoi sont -il différent des androïde.

Le héro et de nature banal pousser par le désir de posséder un vrai animal il se lance dans une course pour traque des androïde Rebel pour toucher leur prime et pouvoir enfin se payer un animal. Il na pas une vie facile entre sa femme dépressive et sont métier dangereux ce qui ne l’empêche pas d’avoir des réflexions assez profondes sur différente situation qu’il subit. Les androïdes justement ces sont des serviteurs pour les colons de mars et sont interdit sur terre. Mais certain on soif de liberté et émigre clandestinement sur terre en prenant la place d’un être humain. Dans le livre on nous explique que la principale différence entre les humains et les androïdes c’est l’empathie en effet les androïdes sont incapables de la ressentir. Du coup c’est un duel entre l’intelligence des androïdes et l’empathie des humains. Pour débusquer les androïdes on fait passer à ce qui ressemble au détecteur de mensonge et cela nous permet de vraiment se rendre compte que la frontière entre humain et androïdes et très mince. Spoiler Mention spéciale pour le premier test il ma retournée le cerveau personnellement le retournement de situation Fin du spoiler

Tout se déroule en une journée c’est une succession d’évènement qui nous entraine entre action, réflexions, remise en question

Spoiler au cours de l’histoire le personnage principal va se retrouver dans une situation où il se demande s’il n’est pas un androïde et nous lecteur ont fini par se demander si c’est vrai ou faux très cérébrale. Fin Spoiler

Donc j’ai adoré la réflexion profonde entre la nature humaine et les androïdes ce qui les différences et ce qui les rapproche je recommande a lire.

Uno degli eventi più importanti della mia vita è iniziato con la visione al cinema di Blade Runner 2049, quindi recuperare prima o poi il romanzo originale era un mio dovere morale nei confronti di Dick. Ora che l'ho letto, la mia reazione è "wow!": a me i romanzi brevi e densi piacciono, e Do Androids Dream of Electric Sheep? è un capolavoro del genere.
La trama principale dell'agente Deckard è un thriller/noir impeccabile dal ritmo sostenuto; la vicenda secondaria di J.R. Isidore e della guerra culturale fra Buster e Mercer è un "contrappunto" eccellente che ci mostra gli eventi da una prospettiva speculare e complementare; a loro modo tutti i personaggi bucano la pagina; l'intreccio complessivo è un esempio da manuale del tropo "un giorno qualunque che diventa straordinario"; l'ambientazione (ormai) retrofuturistica è piena di dettagli ben amalgamati fra loro, tanto quelli con un impatto diretto sulla trama (tipo il commercio di animali) quanto quelli che devono "solo" fare colore (come il congegno cambia-emozioni); la riflessione filosofica insita negli eventi necessiterebbe di lunghe pagine per essere sciorinata, e io che sono un profano probabilmente ho toccato a malapena la punta dell'iceberg.
Non do 5 stelle su 5 perché è mancato quel quid impalpabile che me lo farebbe definire perfetto, ma ci siamo molto vicini.

Questo romanzo ha spesso incrociato i miei occhi durante i miei pellegrinaggi in libreria: ha un titolo così originale che non poteva non finire tra le mie grinfie prima o poi. Alla fine l'ho adocchiato anche in biblioteca e ha finito per essere ospite della mia casa.

Cosa dire di questo capolavoro di fantascienza? Credo sia uno di quei libri di cui sia difficile parlare: si può solo consigliare di leggerli per poter apprezzare i molteplici spunti di riflessione che offre per noi abitanti di un mondo tecnologico. E, cosa ancora più straordinaria, Ma gli androidi sognano pecore elettriche? è del 1968.

Personalmente, ciò che mi ha colpito di più nel romanzo è stato il rapporto tra gli esseri umani e gli animali veri. In mondo post-apocalittico dove la maggior parte delle specie animali si è estinta e gli esseri umani vivono su una Terra preda di polvere radioattiva e rifiuti, Dick ci fa percepire tutto il peso della perdita della speranza di salvezza. Non c'è religione o fuga che possa salvare Rick Deckard, il protagonista: non c'è nemmeno conforto umano, dato che anche i rapporti umani sembrano irrimediabilmente sfilacciati.

L'unico modo per sentirsi ancora umani, infatti, sembra essere il possesso di un animale vero: estremamente costosi, molte persone li sostituiscono con androidi quasi identici agli originali. Eppure, possedere un animale finto scatena la diffidenza altrui, come se fosse chiaro segno della perdita della propria umanità: dato che i rapporti interpersonali si sono sfaldati, l'unico modo per rimanere aggrappati alla propria empatia è stabilire un rapporto di affetto con animale vivo.

È un'idea che mi ha messo i brividi e che sembra di vedere all'opera quando animalisti fanatici insultano persone malate (e vive solo grazie alla ricerca) perché difendono la sperimentazione animale. È terribilmente facile stabilire un rapporto di affetto con un animale: non richiede la complessità emotiva di cui invece ha bisogno una relazione tra persone. Ma sacrificando questa complessità, non stiamo dimenticando chi siamo?